Sur l'air bien connu du petit cheval dans le mauvais temps, chanté par Brassens, et écrit par Paul... je me souviens plus de son nom et j'ai la flemme. On a qu'à dire Thorongil
Felaróf bien loin du Rohan,
Qu’il avait donc du courage,
C’était un vaillant mearh blanc,
Tous derrière, tous derrière,
C’était un beau méara blanc,
Tous derrière et lui devant.
Les Mûmakil étaient absents
Dans ce pauvre paysage,
Il n’y avait pas d’Oliphants,
Ni derrière ni derrière,
Il n’y avait pas d’oliphants,
Ni derrière ni devant.
Mais toujours il était content
Chassant les orcs des villages,
De son brutal et noble élan
Et derrière, et derrière
Les orcs s’étouffaient dans leur sang,
Et derrière, et devant.
L’eored allait poursuivant
Sa bell’ petite queue sauvage
C’est alors qu’il était content,
Tous derrière, tous derrière,
C’est alors qu’il était content,
Tous derrière et lui devant.
Mais un jour près du Celebrant,
Un jour qu’il était si sage,
Il est mort car des gars d’Orient
Par derrière, par derrière,
Il est mort car des gars d’Orient
Par derrière l’ont eu avant ;
Avant qu’il voit les Oliphants,
Qu’il avait donc du courage,
Ces fameux animaux géants
Ni derrière, ni derrière,
Ô pauvre mearh de Rohan,
Ni derrière ni devant.
Grimbold
PS : la prochaine, c'est le petit âne gris... ce que j'aime avec les chansons d'équidés, c'est que ça finit avec la mort de la bête...